Du sexe et du vin, c’est pas du porno, c’est les vendredis du vin

Le sexe et le vin

Oui, je l’avoue, je n’ai pas résisté à ce titre racolleur, véritable pompe à clic sur les moteurs de recherche comme google ou yahooooooo 😉

La tentation était trop forte de rebondir sur cet appel des vendredis du vin. Pour rappel, le dernier Vendredi du mois, les blogueurs et autres amateurs du vin partagent des notes de dégustation de vins, sur un thème sélectionné par le blogueur-président du mois. Ce mois-ci, pour la trentième édition, nous avons le droit au thème « Le vin et le sexe » émis par les deux blogueurs bicéplale-buveur. A croire que dans le cerveau de ces deux-là, il y aurait comme une obsession.

On sent déjà les claviers frémir ! J’espère tout de même que ce ne sera pas seulement quelques billets de sexes forts, qu’il y aura aussi de la poésie, de la finesse, du quiproquo sur un porno ou un porto, de la féminité aussi, du désir et de l’envie et pas que de l’évidence.

Vivement la fin du mois.

Référencement sur google ou lien commerciaux ?

Après le bref message précédent sur les mystères du référencement sur google que j’ai observé sur la boutique showvin.com pour les mots clés « ma société », voilà que suite à un article sur le crémant de bourgogne, je réalise que la lutte pour être visible sur internet est de plus en plus acharnée et tendue !

La fin d’année est propice à la vente de vin et surtout de vins à bulles comme le crémant ou le champagne. Certainement que nombreuses sont les boutiques en lignes à vouloir sortir en tête de liste des pages de recherche de google sur les mots clés du genre : « champagne« , « crémant« , etc…
Si d’un côté il y a tout un travail à effectuer, de longue haleine et fastidieux, de référencement manuel, d’un autre, il y a la facilité et la possibilité de passer par les enchères de Google Adwords. Cela consiste à décider d’un budget journalier et mensuel à dépenser, et, à fixer un montant d’enchère pour de nombreux mots clés. J’ai pu observer que Google Adwords se permet de relancer par téléphone ceux qui s’inscrivent, sans avoir forcer sur leurs budgets. L’alibi officiel des équipes de Google est de vous apporter une aide pour expliquer pourquoi vos mots clés ne déclenchent aucune enchère. La vraie raison, me semble-t-il, est de vous faire augmenter ce budget en vous expliquant que, en-deça d’une certaine dépense par jour et par mois, vos mots clés ne seront pas actifs. Les retours et témoignages de certains clients, pour lesquels j’ai effectué des prestations d’emarketing, me renforcent dans cette idée. Quand quelqu’un vous appelle pour vous aider, comme Google sur ses services internet, c’est forcément parce que c’est rentable ! Ne rêvez pas, ce  n’est pas pour vos beaux yeux !

Voilà, alors à quelques jours des fêtes, entre les boutiques de vente de vin, ceux spécialisés en produits du terroir ou gastronomiques, les particuliers qui s’en mèlent, les négociants aux gros budgets, les vignerons, les domaines et les maisons de champagnes, sans oublier les boutiques institutionnelles d’e-commerce, la guerre fait rage sur les mots clés. Du côté du consommateur ou du moins du simple utilisateur d’internet et de ses moteurs de recherche, il y a tout de même des choses qui me mettent mal à l’aise.

Tenter les mots clés « crémant de bourgogne » et vous verrez que la première page est envahie de pas moins 10 liens commerciaux. C’est incroyable ! Surtout qu’ils sont répartis de manière à se confondre avec les résultats du référencement. On en trouve 4 en haut de page, 4 à droite et 2 en bas de page, avec juste la mention « liens commerciaux » vraiment très discrète.
Je suis assez ravi de voir que sans avoir travaillé ces mots clés, mon blog arrive à la page 3 soit à la 21ème place de cette façon :

http://search3.incredimail.com/?q=cremant+de+bourgogne&lang=french&source=001021052011&p=3

Les mystères du référencement sur google

On a beau avoir une très bonne maitrise du référencement et de ses méthodes pour grappiller des précieuses places dans le classement de google, ce fameux ranking, il y a des réactions des moteurs de recherche qui nous étonnent encore maintenant.

Beaucoup de sociétés spécialisées en référencement, ciblage, ranking, et que sais-je, vous exposerons pendant plus d’une heure, en long et en large, à l’aide de tableau, de courbes, de chiffres, d’analyses aussi variées que les noms qu’on leur donne, la finesse d’un référencement, la subtilité de leur travail, le talent de ses ingénieurs du woueb. Et pourtant, souvent beaucoup de choses leur échappent sachant que le dit moteur de recherche est construit par monsieur google et que ses secrêts de fabrique sont bien gardés. J’avais un collègue, à la bonne époque des starts-up, qui m’avait dit un jour, à la suite d’une interminable journée, de réunion non-stop, avec l’ensemble du staff (l’équipe de travail) européen, au sujet des célèbres Matrices BCG (Boston Consulting Group) : « Tu sais, parfois, vaut mieux aller au plus simple et si il y a bien une matrice qui fonctionne, c’est bien la bonne vieille BSP : Bon Sens Paysan ! ». Depuis, je n’ai pas trouvé mieux effectivement. Rien ne vaut quelqu’un du terrain. Rien ne remplace l’expérience, l’écoute et l’esprit de synthèse.

Et voilà que je réalise, ce matin, via le back-office de ma boutique en ligne ShowVin.com, qu’un surprenant mot-clé apparait  dans mes requêtes et attire plusieurs visites sur le site. Surprenant car je ne comprends pas ce que le moteur de recherche a trouvé sur ma page d’accueil pour le placer sur la première page de résultat au mot clé suivant : « ma societe« . Je ne trouve que des « ma » dans le contenu de ma page. Tout de même, quand je pense à tous ces sites qui dépensent des budgets certains pour se référencer sur ce mot…

Bon pour ma part, soyons réaliste, cela ne m’attire pas de prospects qualifiés. Peut-être une curiosité…

Si vous avez rencontré le même cas, n’hésitez pas à le partager. On apprend beaucoup de l’expérience des autres.
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