Jouez et Gagnez un week-end en chambre d’hôtes au coeur du vignoble du languedoc

Jeu concours VinoCap

En voilà un bien joli jeu concours pour les beaux jours et venir profiter du soleil , de la mer et de la vigne dans le Sud de la France.Le premier prix d’une valeur de 450 €, c’est un week-end de charme en chambre d’hôtes au domaine de la Clapière, tout autour de Pézenas dites ! avec visites des domaines de Nicole (vous y verrez Arrogant Frog), le domaine de la Garance à Caux (Un monsieur qui en impose), villa tempora en plein coeur de Pézenas et le Mas du Novi, perché entre Montagnac et l’Abbaye de Valmagne, une vue sublime sur Sète, Agde, l’étang de Thau et de l’autre côté vers les contreforts et la plaine de l’Hérault.Les questions ne sont pas trop dures, y’a des indices sur le site de vinocap, la deuxième édition du salon des vins organisé au cap d’agde.

Pénurie de vin en France : la SAQ joue la carte de l’humour

Pénurie dans l’Hexagone

 

saq foire aux vins français

« Coup de théâtre sur la France : tous les vins français sont maintenant à la SAQ au Québec. Fini le champagne, adieu le rosé, au revoir petit rouge : c’est au Québec qu’on retrouve dorénavant tous ces délicieux produits français. La nouvelle a été lancée sur les ondes de FVTV.
D’une région à l’autre, c’est le même constat : ce sont maintenant les Québécois qui peuvent savourer le vin français quand bon leur semble. On parle même d’un site, foireauxvinsfrancais.com, qui leur permettra d’en savoir plus sur l’art de vivre à la française, sur les régions vinicoles et même sur les accords vins et mets. « C’est le monde à l’envers », déclare Justin Pignon,vigneron.
Une source sûre nous a aussi révélé que les Québécois pourront obtenir plus d’information sur les vins français dans un magazine nommé Tchin Tchin, qui sera distribué cet automne à la SAQ. Les agents de voyage remarquent d’ailleurs une hausse marquée des réservations desvols vers le Québec. « Cette province a toujours été une destination populaire », mentionne Gustave Dupont, de l’agence Bon Vol. « Mais comme les vins de France sont maintenant tous au Québec, les Français font d’une pierre deux coups en réservant un séjour là-bas. Ils en profitent pour passer à la SAQ, de toute évidence ! Après tout, c’est là où se trouvent toutes nos bouteilles. »Hier après-midi, le nouveau bateau de croisière Le navigateur a été inauguré à Marseille. Après la bénédiction prononcée par le Père Leblanc, la marraine, madame Julie Bécotte, a baptisé le navire en brisant une bouteille de jus d’orange sur sa coque.« Comme tout le champagne est au Québec,nous avons dû improviser», explique monsieur Pierre Lamer, propriétaire du bateau, qui peut accueillir jusqu’à 200 passagers. Comment la France se remettra-t-elle de ce changement dans son paysage vinicole ? »

C’est beau l’alliance de l’humour et de l’intelligence.

C’est une campagne menée au Québec par la SAQ, l’importateur officiel des vins, élaborée en partie par la SOPEXA (Spécialiste du marketing et de la communication alimentaire ainsi que de l’Art de vivre, conçoit et met en place pour le compte de ses clients – entreprises et filières agroalimentaires- des campagnes de communication valorisant leurs produits et leurs marques made in France sur tous les marchés.)
Campagne média qui décline le message sur supports télé, radio et internet.

Foire aux vins français

Tiens, on retrouve Arrogant Frog sur le catalogue de la SAQ…

Pénurie de vin en France : la SAQ joue la carte de l’humour

Pénurie dans l’Hexagone

 

saq foire aux vins français

« Coup de théâtre sur la France : tous les vins français sont maintenant à la SAQ au Québec. Fini le champagne, adieu le rosé, au revoir petit rouge : c’est au Québec qu’on retrouve dorénavant tous ces délicieux produits français. La nouvelle a été lancée sur les ondes de FVTV.D’une région à l’autre, c’est le même constat : ce sont maintenant les Québécois qui peuvent savourer le vin français quand bon leur semble. On parle même d’un site, foireauxvinsfrancais.com, qui leur permettra d’en savoir plus sur l’art de vivre à la française, sur les régions vinicoles et même sur les accords vins et mets. « C’est le monde à l’envers », déclare Justin Pignon,vigneron.Une source sûre nous a aussi révélé que les Québécois pourront obtenir plus d’information sur les vins français dans un magazine nommé Tchin Tchin, qui sera distribué cet automne à la SAQ. Les agents de voyage remarquent d’ailleurs une hausse marquée des réservations desvols vers le Québec. « Cette province a toujours été une destination populaire », mentionne Gustave Dupont, de l’agence Bon Vol. « Mais comme les vins de France sont maintenant tous au Québec, les Français font d’une pierre deux coups en réservant un séjour là-bas. Ils en profitent pour passer à la SAQ, de toute évidence ! Après tout, c’est là où se trouvent toutes nos bouteilles. »Hier après-midi, le nouveau bateau de croisière Le navigateur a été inauguré à Marseille. Après la bénédiction prononcée par le Père Leblanc, la marraine, madame Julie Bécotte, a baptisé le navire en brisant une bouteille de jus d’orange sur sa coque.« Comme tout le champagne est au Québec,nous avons dû improviser», explique monsieur Pierre Lamer, propriétaire du bateau, qui peut accueillir jusqu’à 200 passagers. Comment la France se remettra-t-elle de ce changement dans son paysage vinicole ? »C’est beau l’alliance de l’humour et de l’intelligence.

C’est une campagne menée au Québec par la SAQ, l’importateur officiel des vins, élaborée en partie par la SOPEXA (Spécialiste du marketing et de la communication alimentaire ainsi que de l’Art de vivre, conçoit et met en place pour le compte de ses clients – entreprises et filières agroalimentaires- des campagnes de communication valorisant leurs produits et leurs marques made in France sur tous les marchés.)Campagne média qui décline le message sur supports télé, radio et internet.

Foire aux vins français

Tiens, on retrouve Arrogant Frog sur le catalogue de la SAQ…

Consommation de vin

monde tourne

La consommation du vin : une évolution à plusieurs inconnues.

Depuis que le marché s’est mondialisé, on peut noter deux points contradictoires.
Le premier, positif, est une augmentation des ventes à l’export avec une image très forte du vin français.
Le deuxième, négatif, une menace de chute des ventes du fait de la concurrence des autres pays producteurs, beaucoup plus agressifs autour de stratégies marketing abouties.

Sur le marché national, On note chaque année une baisse en volume des ventes car les français boivent moins de vin. Les buveurs réguliers se font de plus en plus rares tandis que la part des non-buveurs de vin augmente. Mais en même temps, les Français boivent mieux, ou tout du moins, ils boivent plus chers, guidés par les vins en AOC. Au fil des ans, l’offre de vins en AOC s’est effectivement accrue mais avec une quasi absence de sélection qui aurait permis de conserver l’objectif premier, qui était de segmenter, par la qualité, les vins.

Alors aujourd’hui, on a quoi ?

Un nouveau consommateur qui achète, dans 75% des cas, son vin en supermarché, devant un rayon angoissant où le stress du choix face à plus de 800 références donne le tournis à plus d’un. Qui n’a pas son aoc ? Qui n’a pas sa médaille ? La profession se donnant elle-même ses récompenses et ses agréments. L’aoc n’est plus un gage de qualité. Le consommateur qui veut comprendre le vin qu’il achète, reste ignorant face à une étiquette souvent sans intérêt. Bientôt, il comprendra aussi que la médaille d’or d’un quelconque concours ne lui garantit en rien un plaisir à la dégustation.
Un marché mondial tendu avec une forte évolution de la concurrence dans les pays anglo-saxons et une hausse de la consommation dans les pays émergents qui touche d’abord les vins haut de gamme. Les nouveaux riches de ces pays consomment le luxe donc le Champagne, le Cognac et les grands Bordeaux. Il faut attendre que le partage des richesses dans ces pays se fassent avant de pouvoir vendre les vins plus accessibles.

En attendant, il est quand même remarquable de voir des entreprises françaises comme Gérard Bertrand avec l’Hospitalet, les Domaines Paul Mas avec Arrogant Frog, Gabriel Meffre avec fat bastard et wild pig et tant d’autres, conquérir des parts de marché avec une créativité très riche et payante. Il serait quand même judicieux de parler de ces gens-là pour faire savoir, à nous même, l’intérêt d’aller de l’avant, d’être créatif, dynamique et de maîtriser sa stratégie marketing pour vendre les vins français. Et n’allez pas croire que ce soit de la piquette. Ce sont des vins très bien faits et de très bonnes qualités.

fat bastard wine

Le marketing ce n’est pas un gros mot !