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Trendy Drink a lancé GO ON la première boisson alcoolisée & stimulante en France, subventionnée par l’Aide Régionale à l’Alimentation de Qualité (ARAQ)

Drôle de communiqué de presse ? Je n’ai pas hésité à le diffuser, surtout que c’est indiqué en gros « POUR DIFFUSION IMMÉDIATE ».

De quoi il s’agit ? Mais tout simplement « d’une boisson saine et nouvelle qui n’est pas née à l’époque de nos grands parents ! »

« Après 50 ans sans innovation sur le marché des spiritueux en France,  TRENDY DRINK vient de lancer un nouveau concept de boisson alcoolisée aux arômes inédits. Subventionnée par l’Aide Régionale à l’Alimentation de Qualité (ARAQ),  Go’On est la première boisson stimulante alcoolisée (12,9°) en France.

Produit premium à base de Vodka Française pur grain et aux extraits 100 % naturels des 3G reconnus pour leurs vertus stimulantes  «  Guarana Ginseng Gingembre  », Go’On se déguste dans une petite bouteille blanche en aluminium en format nomade (20cl) , novatrice avec son système d’ouverture goupille et responsable puisque 100 % recyclable.

Sans colorant, ni conservateur, sans caféine ni taurine, Trendy Drink propose « une alternative saine au mix boisson énergisante/alcool » explique Pierre-Michel COUTURIER PDG de Trendy Drink SAS.

Les bouteilles sont pasteurisées à l’ozone (aucune trace de chlore ou de produit chimique), le gaz carbonique présent dans les bouteilles est 100 % naturel (aucune adjonction de gaz chimique et fabriqué à partir de levure). Parce que préserver notre environnement est important, Trendy Drink a fait le choix d’une usine d’embouteillage ne fonctionnant qu’à l’énergie solaire. »

Pour en savoir plus sur l’ARAQ cliquez là.

Pour découvrir et commander en ligne cette superbe boisson go on, cliquez ici.

Ne me reste plus qu’à recevoir un échantillon pour vous dire quel goût ça peut bien avoir.

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Le Beaujolais Nouveau s’envoie en l’air avec Air France Cargo

Une petite brève au sujet du Beaujolais Nouveau, ça ne peut pas faire de mal !

Si 60% des Français ont l’intention de fêter le Beaujolais Nouveau, (avec plus détail ici sur vitisphere) soit en allant dans un bar à vin ou restaurant, soit en se faisant une dégustation chez les uns et les autres, en famille ou entre amis, que font les estrangers ?

Le Japon grand buveur de Beujolais n’est pas un mythe ! La preuve dans ce ravissant petit communiqué de presse reçu ce jour de la part de la compagnie Air France, histoire de communiquer sur sa partie Fret qui représente 12% de son chiffre d’affaires.
Ainsi on apprend que :

En 2011, Air France a transporté près d’un million de bouteilles de Beaujolais Nouveau
84% du Beaujolais Nouveau est à destination du Japon et de l’Amérique du Nord

Traditionnellement, le troisième jeudi du mois de novembre, le Beaujolais Nouveau franchit les frontières pour s’installer sur les tables du monde entier.
Sur la quantité totale de Beaujolais Nouveau exporté, 73% s’envole à destination du Japon, 11 % à destination de l’Asie et 11% également vers l’Amérique du Nord.
Afin de coordonner les dégustations partout dans le monde, Air France Cargo a acheminé du 28 octobre au 13 novembre, près de 1000 tonnes de Beaujolais Nouveau, soit environ un million de bouteilles.

Faites un petit tour sur le site du beaujolais nouveau, y’a une appli, y’a du facebook, y’a des affiches : http://www.beaujolais.com/beaujolais-nouveau/

Skyscanner compare les prix, les vins et d’autres choses encore ?

 

Faire parler de soi ! C’est essentiel, non ?Trouver une idée pour dire quelque chose !Quelque chose que les autres voudront bien reprendre et en parler autour d’eux !Communiquer pour exister !Nous y sommes tous réduits : « On ne peut pas ne pas communiquer ! » Vous connaissez ? Certes, acceptons ce principe. Mais doit-on pour autant en oublier l’essentiel : le message. Est-il plus important de dire que d’être entendu ?Il y a longtemps qu’en matière de communication, tout le monde s’égare. C’est même devenu un moyen de communication en soi qu’utilisent les bonnes et moins bonnes agences. On voit ainsi fleurir une ribambelle d’excuses plus ou moins sérieuses  comme des baromètres, des sondages, des comparatifs, des tests, des enquêtes etc… On y chercherait des réponses pour établir des stratégies de conquête de marché, de compréhension des consommateurs etc…Et souvent, en grattant, le rideau tombe. C’est le même phénomène que l’on observe avec les politiques qui publient des livres tous les ans, principalement pour être présents sur la scène médiatique. 

Voilà, mon état d’esprit à la lecture de ce communiqué de presse du site de comparaison de prix skyscanner évoquant les résultats d’un sondage pour désigner quelles compagnies servent les meilleurs vins à bord ! C’est à un tel point d’absurdité, que l’amalgame est de rigueur ! On nous parle « d’un sondage auprès d’un panel international d’experts en vin » pour nous préciser que ce panel se compose de 10 personnes ! Et le plus affligeant c’est que plus loin dans ce communiqué, on trouve cette phrase « les résultats dévoilent certes quels vins la majorité des voyageurs préfèrent… » Les experts parlent pour la majorité des gens !

 A part ça, le résultat, on s’en fout.

Quand le Président de la République va-t-il donner un message d’espoir, de fierté et de dignité aux Vignerons français ?

Les Vignerons Indépendants de France viennent de diffuser un communiqué de presse explicite à l’encontre de Nicolas Sarkozy :

logo-vigneron-independant

Les Vignerons Indépendants de France ont interpellé le Président de la République dans un courrier récent.Tandis que plusieurs chefs d’états ou de gouvernements se sont clairement exprimés sur l’avenir de la viticulture de leur pays, le nôtre, est, à ce jour resté muet. Alors que se décide la future P.A.C, le silence de Nicolas SARKOZY vaut renoncement de la France.Qu’est ce que les vignerons sont en droit d’entendre :1- Que le vin, une des toutes premières économies de notre pays, un des éléments structurant de notre histoire et de notre culture, chainon essentiel de la transmission des savoirs faires, de l’occupation et de l’enrichissement du territoire rural, est en crise depuis maintenant plus de 10 ans et doit être soutenu.2- Que l’ultralibéralisme qui s’annonce avec la suppression des outils de régulation n’est pas adaptée à la filière. En particulier, les droits de plantation doivent être maintenus. En effet, la délicate régulation à moyens termes de la production passe aujourd’hui encore par le contrôle des plantations des vignes. Cet outil dynamique car sans cesse adaptable ne créer aucun goulet d’étranglement du côté de l’offre et garantie une stabilité qui est nécessaire à toute la filière. La chancelière Angela Merckel s’est clairement positionnée contre leur suppression.3- Que le vin, outre les problèmes conjoncturels et structurels liés à la restructuration de cette filière, souffre d’une décennie de politiques de diabolisation qui pèse sur l’image de cette boisson en France.4- Que les discussions qui s’ouvrent aujourd’hui à Bruxelles sur la politique agricole commune d’après 2013 ne doivent surtout pas laisser de côté la filière comme cela semble de plus en plus probable.Les Vignerons Indépendants de France attendent depuis trop longtemps un engagement fort de Nicolas Sarkozy. Après les négociations, il sera trop tard. C’est donc maintenant que la France doit s’engager pour redonner de l’espoir à toute une profession.

Non, le vin Bio n’est pas enterré !

A la suite de la décision de la commission européenne de retirer le projet de réglementation de vin biologique, (lire l’article) le syndicat des vignerons bio d’aquitaine réagit par un communiqué de presse incisif en annonçant que le vin bio n’est pas mort. Il nous rappelle d’abord quelques bases sur les pratiques des vignerons bio actuels et bien évidemment souligne l’initiative déjà opérationnelle d’un vin certifié bio par la charte de la FNIVAB.Depuis bien longtemps déjà, les vignerons Bio raisonnent, dans les faits, leur vinification. Le faible usage de produits œnologiques exogènes, la diminution des doses de SO2, la limitation des interventions sur le vin sont appliqués spontanément par les vignerons Bio : ce qui se fait à la vigne se continue donc au chai, pour permettre l’expression la plus pure et la plus optimale du raisin, fruit de la rencontre entre un homme et son terroir.Certains vignerons s’engagent d’ailleurs volontairement à appliquer un cahier des charges national, la Charte Vins Bio F.N.I.V.A.B. (Fédération Nationale Interprofessionnelle des Vins de l’Agriculture Biologique. Les conditions posées par celle-ci sont claires : liste limitée de produits œnologiques, interdiction de l’usage d’OGM, traçabilité stricte. Le respect de ce cahier des charges est contrôlé tous les ans par un organisme agrée totalement indépendant. La Charte Vins Bio F.N.I.V.A.B. offre donc d’ores et déjà une garantie claire au consommateur, celle d’une démarche Bio de la vigne au verre.C’est la raison pour laquelle le Syndicat des Vignerons Bio d’Aquitaine n’est pas spécialement inquiet du retrait du projet de règlement européen. Sur le terrain, les faits parlent déjà pour nous. Il eut certes été préférable de les traduire dans une règlementation commune, que nous continuons à appeler de nos vœux, mais nous souhaitons, en tant que professionnels du Vin Bio, à rassurer le consommateur : le Vin Bio a toujours existé, il existe encore. Et il existera demain de plus en plus, puisque les consommateurs sont de plus en plus en demande d’un vin « vrai », élevé dans le respect de l’environnement et du travail des hommes, et, surtout, qui offre un grand moment de plaisir.

Film sur le Petit et Grand Chablis à la Chablisienne

La Chablisienne signe le premier film d’animation (voir le film) en 3 dimensions présentant le vignoble de Chablis et ses crus. Ce film pédagogique, d’une durée de 4 minutes, permettra aux amateurs du monde entier de mieux comprendre l’univers des vins de Chablis et de découvrir la richesse de ses appellations.

 

Même si à Chablis on cultive un seul cépage (le Chardonnay), le chablisien est un terroir complexe avec sa vingtaine de villages, ses vallées, sa grande variété de pentes et d’expositions, ses deux grands types de sols (Portlandien et Kimmeridgien)… A Chablis, la notion d’origine prend tout son sens. Depuis que l’homme y cultive la vigne et confectionne des vins, il a méticuleusement appris à lire ce territoire, à en extraire les “pépites” (ces micro-climats qui font des grands vins uniques). La Chablisienne a voulu expliquer cette réalité, simplement, sans refuser la complexité.

En créant ce film, La Chablisienne confirme sa position de leader de Chablis, offrant la plus large gamme des appellations du vignoble avec trente crus différents : des Petits Chablis, des Chablis, 11 Premiers Crus, 6 Grands Crus ainsi que le célèbre Château Grenouilles, unique château de la colline des Grands Crus (soit au total 25% de la production du vignoble).

« La réalisation d’un film court en 3D disponible sur le web est une réponse adaptée à un enjeu qui nous paraît essentiel : faire preuve de pédagogie pour donner de la valeur à notre travail”, confie Damien Leclerc, Directeur Général de La Chablisienne.
En 2007, dans le même esprit, La Chablisienne avait créé et commercialisé une valisette découverte du vignoble (6 vins différents, du Petit Chablis au Château Grenouilles). Elle réaffirme ainsi sa capacité d’innovation et son rôle moteur dans la communication du vignoble.

Communiqué de presse Drink Media Wire – La Chablisienne

logo Depuis 1923, La Chablisienne est une coopérative basée à Chablis en Bourgogne qui regroupe aujourd’hui près de 300 vignerons. Le vignoble de 6800 hectares, réparti de part et d’autre de la rivière « le Serein », s’étend sur 20 communes. Sur les 4700 ha déjà plantés, La Chablisienne représente à elle seule près de 25 % du vignoble. Elle est présente dans toutes les appellations.

La production de l’ensemble du vignoble est, selon les années, d’environ 250.000 hectolitres. Ce qui fait du Chablis le plus important producteur de vins blancs de Bourgogne. Les vins sont issus d’un seul cépage, le Chardonnay, qui trouve dans les sols chablisiens matière à une grande finesse d’expression.

Nous en avons parlé à l’occasion du test sur les résidus de pesticides dans le vin (voir article), publié par la revue test-achats de décembre 2008 . n° 526. Il avait notamment mis en évidence la présence de résidus de pesticides (du pyriméthanil) dans la cuvée « La Source 2004 », pourtant certifiée Bio .
Je n’ai encore lu encore aucune réaction de la part de La Chablisienne à propos de cette étude, certes publiée en Belgique, dont personne ne parle en France !!!

Comment réussir son communiqué de presse ?

Il y a des choses comme celle-ci qui m’interpelle. Vous me direz…c’est technique…ultra spécialisé…pour un public de professionnels…tous parlant la même langue d’initié…voir même un peu évasif…le titre est bien…on appelle cela un chapeau en jargon attaché de presse…mais attention…la conclusion est sévère…nette et précise…on ne fait pas dans la dentelle à la FNESA…V…I…G…I…L…E…N…C…E

 

FEDERATION NATIONALE DES SYNDICATS D’EXPLOITANTS AGRICOLES
11, rue de la Baume – 75008 PARIS – Tél. 01.53.83.47.47. – Fax. 01.53.83.48.48.
Paris, le 28 novembre 2008

COMMUNIQUE DE PRESSE

Les viticulteurs ont besoin de visibilité à court et

moyen terme

Michel Barnier a réuni hier la filière vitivinicole pour faire le point sur la conjoncture, le
plan de modernisation et l’organisation commune du marché.
La FNSEA a alerté les pouvoirs publics afin qu’ils prennent la mesure de la situation
conjoncturelle préoccupante pour de nombreux viticulteurs, dans toutes les régions. La
FNSEA prend acte que la viticulture s’inscrit dans les mesures annoncées lors de la
conférence sur les revenus : aide à la trésorerie, mesures bancaires, allègement des
charges fiscales et sociales.
La FNSEA demande aussi la reconduction en 2009 de l’exonération de la taxe sur le
foncier non bâti.
Concernant le plan communautaire d’arrachage, la FNSEA déplore qu’aucune évolution
ne soit envisagée au niveau communautaire pour permettre de trouver des solutions
aux 11 000 ha de vignes dont l’arrachage ne pourra être soutenu. Jérôme DESPEY,
vice-président de la FNSEA, a demandé avec insistance au Ministre d’apporter des
solutions alternatives pour accompagner dès 2009 ces viticulteurs, en grandes
difficultés.
Enfin, la FNSEA souhaite que la mise en oeuvre nationale de l’OCM se fasse avec
pragmatisme. Les viticulteurs attendent que les aides aux investissements et à la
restructuration se mettent en place rapidement.
La FNSEA restera plus que vigilante sur tous ces sujets.

Contact : Arnaud LEMOINE
Tél : 01.53.83.48.83
Portable : 06.13.24.19.19
e-mail: arnaud.lemoine@fnsea.fr
Web: www.fnsea.fr

Publicité pour l’alcool sur Internet : Que doit-on faire ?

D’un côté les anti-alcool qui luttent contre l’addictologie et les menaces de l’excès d’alcool chez les jeunes notamment.
De l’autre, les passionnés de vins, les acteurs de la filière vin qui veulent redonner sa place au vin dans notre culture et notre consommation.

Les deux, tournant autour de la ministre, Mme Roslyne Bachelot, qui doit s’exprimer à propos d’un amendement parlementaire qui actualise la loi Evin en autorisant la publicité sur internet.

Mais, j’ai trouvé une passerelle, une avancée dans le discours, qui tendrait à prouver que nous sommes tous en faveur des enjeux économiques de la viticulture et donc certainement du caractère culturel et identitaire du vin.

A vous de lire ce récent communiqué de presse de la F3A Fédération des Acteurs de Alcoologie et de l’Addictologie :

Dans un entretien publié ce jour dans le Figaro, Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative, déclare qu’elle ne s’opposera pas « à un amendement parlementaire qui actualise la loi Evin en autorisant la publicité sur Internet » et qu’elle ne retiendra pas la proposition formulée par les associations de santé au motif que son application semble difficile et qu’elle « comporte même des risques d’effets pervers ».

C’est avec incompréhension et inquiétude que les associations ont pris connaissance de ces déclarations d’autant qu’elles avaient faire preuve d’approche concrète et réaliste en faisant savoir publiquement leur accord pour autoriser la publicité sur les sites des producteurs et des distributeurs afin de répondre aux intérêts économiques de ces derniers. Incompréhension, à l’égard des enjeux de la santé publique. Car malgré les garde-fous annoncés, ce qui témoigne que la ministre est consciente des risques, la solution qu’elle est prête à accepter est en réalité une autorisation de faire de la publicité sur tous les sites. Une telle option met à mal la cohérence et la lisibilité de la politique de santé publique qu’elle défend dans son projet de loi « Hôpital, patients, santé et territoires ». Peut-on limiter la disponibilité de l’alcool par des mesures restrictives, notamment concernant les mineurs et la vente d’alcool dans les stations-service, et accepter dans le même temps la libéralisation totale de la publicité pour les boissons alcooliques sur Internet ? Incompréhension, à l’égard des enjeux économiques de la viticulture. Car ouvrir tous les sites à la publicité, ce n’est pas donner aux viticulteurs français des armes égales aux producteurs étrangers, c’est livrer le marché français aux armes de publicité massives des grands groupes industriels ou des multinationales pour leurs bières et leurs spiritueux avec les moyens budgétaires inépuisables dont ils disposent.

C’est précisément cette perspective qui nourrit les inquiétudes des associations de santé. L’incitation à la consommation de boissons alcooliques va inonder la Toile et toucher pas seulement les adultes mais également les jeunes dont chacun sait qu’ils ne se limitent pas à surfer sur des sites qui leur seraient réservés.

Quant à l’anticipation d’effet pervers d’une autorisation encadrée, il faut que chacun soit conscient que, quelle que soit la législation, les acteurs de la filière de la production et de la distribution des boissons alcooliques n’hésiteront pas à ouvrir des sites à l’étranger s’ils considèrent que c’est leur intérêt.

Pour les associations, l’option prise par le ministre de la santé est une fausse route dangereuse pour la santé publique.

Source : http://www.alcoologie.org/Publicite-pour-l-alcool-sur.html

Champagne Jacquart en Mandarin

Je n’ai pas résisté à l’envie de vous montrer un communiqué de presse de la maison Jacquart, en mandarin, je crois. C’est très joli…

Au passage pour les amoureux de sites internet en Flash, je leur conseille la visite de celui des champagnes Jacquart. Bel exemple d’esthétisme et d’originalité. Par contre, la navigation n’est pas très intuitive et il faut parfois balader la souris un peu partout pour dérouler les différentes pages :

http://www.jacquart-champagne.fr

香港葡萄酒及烈酒展览会上的雅卡尔香槟(Champagne JACQUART)2008年5月27日至29日

(Drinks Media Wire). 雅卡尔香槟将在香港葡萄酒及烈酒展览会上推介其新品Cuvee Extra Brut 酒。

除了包括少剂量葡萄纯汁酒外,Extra Brut,这个以兰斯为基地的酒房将展示其全部系列的酒,包括香槟 RITZ 系列。

雅卡尔香槟是全球香槟酒的第三大制造商,世界第十大品牌,65%的产品销往国外。雅卡尔香槟也是国际航线的主要供应商,列于法国航空公司(天合联盟),汉莎航空公司和瑞士航空公司(星空联盟)主要供应商名录之列。

常务董事Jean-Marc Pottiez,亚洲出口部主任 Pascal Lepitre以及销售和市场开发部主任Christophe Lagrange 将出席E58 号展台欢迎各位来宾。

一直以来,雅卡尔香槟获得了许多国际新闻媒体和专业机构授予的荣誉称号。近期获得的荣誉和奖项有:

– Cuvee Brut Mosaïque
获2006新加坡第八届联合早报葡萄酒挑战赛金奖

– Cuvee Brut Rosé Mosaïque
在2007法国Vinalies国际评比中获得金奖
获2007英国世界葡萄酒大奖赛银奖

– Cuvee Brut Mosaïque Vintage 2002
获2007英国世界葡萄酒大奖赛银奖
在2008法国Vinalies国际评比中获得银奖

– Cuvee Brut Blanc de Blancs Vintage 2002
获西班牙2008巴克斯金奖

– Cuvee de Prestige Katarina
获2008法国国际挑战赛金奖
获2008法国弗郎西亚国际葡萄酒竞赛金奖

– Cuvee de Prestige Brut de Nominée
获2007英国世界葡萄酒大奖赛金奖

Source : drinksmediawire