Les photos après le passage du feu sur les établissements du négociant Bonfils dans l’hérault

bouteille-brulee-bonfils-bessieres

Bessières était une entreprise de négoce de vins basé à Mèze dans l’Hérault, tout au bord de l’autoroute A9. Le bâtiment était constitué de gros bloc de pierre du Gard pour conserver les vins à l’abri des variations de températures. Depuis l’autoroute, on pouvait voir l’enseigne avec une cascade animée de barrique de vin.

Le feu de la semaine dernière a tout détruit. Il est venu du plateau au-dessus, près de l’abbaye de Valmagne. Ce serait suite à un écobuage ! Pratique radicale pour désherber les bords des champs. Dans la vigne, tu balances des fongicides et à côté tu brules le plastic et le fossé avec.Il se trouve qu’en plein mois d’aout avec un vent très soutenu, au coeur de la garrigue, il fallait oser !

Anthony Tortul La Sorga
Les étiquettes de vin de La Sorga d’Anthony Tortul : concept marketing ou besoin de se dé-marque-r

J’ai déjà, ici même(), raconté et exposé quelques fous des étiquettes de vin, des originaux comme Alonso qui s’efforcent de nous désacraliser la vinasse en jouant sur son contenant. J’en ai trouvé un autre, en pleine création, au tout début de son aventure et j’ai eu comme un aperçu de mon paradis. Le bonheur du dégustateur fouineur de vins nature.

Anthony Tortul La Sorga Négociant Vinificateur

Anthony Tortul s’est lancé (en  pleine crise ?) dans le négoce et la vinification de vins naturels. Incroyable démarche, au coeur des multiples terroirs du Languedoc, de la part de cet « oeno » après avoir appris et compris, ailleurs en France, que faire du vin était une question d’identité, fondamentale pour son épanouissement. Alors la crise on l’affronte en prenant un risque et en prenant son pied. Il a sélectionné pas moins de 15 vignerons en Bio, de Limoux à ChateauNeuf-du-Pape, en passant par Pézenas, Faugères, Saint-Chinian et Carcassonne.

cave barrique la sorga

Au total, cet équilibré, car on peut être fou sans être déséquilibré, vinifie 29 cuvées dans une seule cave, la plupart en fût de chêne pour exploiter au maximum la diversité des terroirs et cépages qu’il a vendangé en, tenez-vous bien,  36 jours, de Septembre à Décembre 2008 !!!  Il devait être dans un drôle d’état à Noël !
Et voilà qu’à la dégustation de ses blancs, mes bras m’en tombent, que du bon, que du nature, pas de soufre ou très peu, aucun intrants, du pur jus de fruit, pressé en douceur, en prenant son temps. Une barrique de Chasan par-çi, une autre de Mozac, du Muscat plus loin, et du Sauvignon…une vraie caverne d’ali bibi ! A chaque nouveau verre, une nouvelle rencontre avec un terroir d’exception. Que c’est beau le Languedoc comme cela !
Pas un seul soupçon d’oxydation, de la finesse, des arômes d’agrumes, de la brioche, un fond de toast, de la cannelle…un voyage fantastique des saveurs.

Anthony ne s’arrête pas là. Il a donc élaboré 29 étiquettes pour ses 29 cuvées ! Ce travail qu’il a fait en un an, c’est hallucinant ! Et puis 29 noms pour identifier ses créations et nous transmettre ce bouillonnement qui devait s’accumuler dans son esprit depuis fort longtemps. Chaque nom est un appel, un cri, une envie, un peu de lui, une extraction de son savoir-faire :
French Wine is not dead, L’Hérétique, Le Désordre, Chat Zen, C’est pas très Catholique, Le Pitchoun, Prends le gauche, Ah!!! Ramon, Pomponette, En rouge et noir, Premiers pas, Caillasse…

étiquettes vin la sorga

Cet homme vient de bousculer tout un ancien monde, par ici, et croyez-moi, vous en entendrez parler. Un phénomène rare ! Et puis, j’ai adoré aussi ses couleurs, dans l’entrée de sa cave, du fushia, du vert pomme, et la vie en lui qui rayonne et donne envie de partager son aventure !

Vous retrouverez les vins de La Sorga à partir de 6 €, la quasi totalité en Vin de Table par commodité administrative !

Les étiquettes de vin de La Sorga d’Anthony Tortul : concept marketing ou besoin de se dé-marque-r

J’ai déjà, ici même(), raconté et exposé quelques fous des étiquettes de vin, des originaux comme Alonso qui s’efforcent de nous désacraliser la vinasse en jouant sur son contenant. J’en ai trouvé un autre, en pleine création, au tout début de son aventure et j’ai eu comme un aperçu de mon paradis. Le bonheur du dégustateur fouineur de vins nature.

 

Anthony Tortul La Sorga Négociant Vinificateur

Anthony Tortul s’est lancé (en  pleine crise ?) dans le négoce et la vinification de vins naturels. Incroyable démarche, au coeur des multiples terroirs du Languedoc, de la part de cet « oeno » après avoir appris et compris, ailleurs en France, que faire du vin était une question d’identité, fondamentale pour son épanouissement. Alors la crise on l’affronte en prenant un risque et en prenant son pied. Il a sélectionné pas moins de 15 vignerons en Bio, de Limoux à ChateauNeuf-du-Pape, en passant par Pézenas, Faugères, Saint-Chinian et Carcassonne.

 

cave barrique la sorga

Au total, cet équilibré, car on peut être fou sans être déséquilibré, vinifie 29 cuvées dans une seule cave, la plupart en fût de chêne pour exploiter au maximum la diversité des terroirs et cépages qu’il a vendangé en, tenez-vous bien,  36 jours, de Septembre à Décembre 2008 !!!  Il devait être dans un drôle d’état à Noël !Et voilà qu’à la dégustation de ses blancs, mes bras m’en tombent, que du bon, que du nature, pas de soufre ou très peu, aucun intrants, du pur jus de fruit, pressé en douceur, en prenant son temps. Une barrique de Chasan par-çi, une autre de Mozac, du Muscat plus loin, et du Sauvignon…une vraie caverne d’ali bibi ! A chaque nouveau verre, une nouvelle rencontre avec un terroir d’exception. Que c’est beau le Languedoc comme cela !Pas un seul soupçon d’oxydation, de la finesse, des arômes d’agrumes, de la brioche, un fond de toast, de la cannelle…un voyage fantastique des saveurs.

Anthony ne s’arrête pas là. Il a donc élaboré 29 étiquettes pour ses 29 cuvées ! Ce travail qu’il a fait en un an, c’est hallucinant ! Et puis 29 noms pour identifier ses créations et nous transmettre ce bouillonnement qui devait s’accumuler dans son esprit depuis fort longtemps. Chaque nom est un appel, un cri, une envie, un peu de lui, une extraction de son savoir-faire :French Wine is not dead, L’Hérétique, Le Désordre, Chat Zen, C’est pas très Catholique, Le Pitchoun, Prends le gauche, Ah!!! Ramon, Pomponette, En rouge et noir, Premiers pas, Caillasse…

 

étiquettes vin la sorga

Cet homme vient de bousculer tout un ancien monde, par ici, et croyez-moi, vous en entendrez parler. Un phénomène rare ! Et puis, j’ai adoré aussi ses couleurs, dans l’entrée de sa cave, du fushia, du vert pomme, et la vie en lui qui rayonne et donne envie de partager son aventure !

Vous retrouverez les vins de La Sorga à partir de 6 €, la quasi totalité en Vin de Table par commodité administrative !

Attentat au Domaine de la Baume des Grands Chais de France

La Baume a 2 significations possibles :
en Occitan provençal, elle désigne une grotte ou une habitation troglodyte,
en langue d’Oc, un petit monticule de terre.
On peut ainsi extrapoler que cet endroit, la Baume, désigne un abri où les marchands ambulants de bronze et de verre au Moyen Âge, cachaient leur marchandises.

De nos jours, en lieu et place, c’est à dire entre Béziers et Pézenas, se tient une des réussites des vignobles du Languedoc, le domaine de la Baume qui appartient depuis 2003 aux Grands Chais de France, négociant français, 1er vinificateur privé de France, qui emploie plus de 1400 personnes dans 16 sociétés. (voir article sur la marque JP Chenet)

Il a subi un attentat, dans la nuit du 1 Mars, détruisant une partie des bureaux et de la boutique, signé sur ses murs par les fameuses, bien connues, 4 lettres du CRAV. (Comité Régional d’Action Viticole). Sans mots, sans message, autre que cette violence, il est difficile de comprendre cet attentat. S’attaquer à un des plus beaux domaines de la Région par une telle Action qui n’a rien de Viticole, c’est certainement vouloir demeurer en petit Comité.

Quels sont les résultats d’un tel geste « révolutionnaire » :

Une dégradation matérielle qu’il faudra bien payer et réparer au plus vite.
Une mise sous tension du personnel du domaine (environ 15 personnes)
Une menace adressée aux autres exploitations du même genre dans la région.
Une image en France que le Languedoc n’a pas changé.
Une image à l’internationale que les viticulteurs français s’attaquent à un des domaines qui vend le plus à l’export et notamment en Angleterre. (Voir l’article sur decanter.com)

Pas de résultats positifs à ma connaissance !!! car même si le passage à l’acte peut entrainer à court terme une libération d’un trop plein d’énergie, du fait d’une accumulation de frustrations et de peurs, ceux qui ont fait ça, doivent déjà se dire que les médias n’en ont à peine parlé à la télé, que la presse c’est tous des pourris et que pour se faire entendre il faudra bien recommencer.

Comme l’a dit Frederic Glangetas, le directeur du domaine au journaliste de Decanter.com, « Le CRAV se trompe de cible ! Ils s’attaquent aux personnes avec qui ils devraient être partenaires, ces mêmes qui travaillent à promouvoir les vins du Languedoc, et continuent à propager une image négative de la région ! »

Fat bastard : une marque de vin français qui a conquis l’amérique

Bien que Fat Bastard soit une insulte plus ou moins amicale en langue anglaise, il fallait oser la lancer à travers le monde pour représenter une marque de vin, qui plus est, française !!! Lancée en 1998 avec deux vins de cépage – le Chardonnay et la Shiraz, la marque FAT bastard a percé aux Etats-Unis, en devenant une des 3 premières marques de vin français Outre-Atlantique. En effet aujourd’hui, ce sont  plus de 4 millions de bouteilles FAT bastard qui sont vendues dans 16 pays chaque année (Pays Bas, USA, Canada, Emirats Arabes Unis, Norvège, Chine, Danemark, France, etc.)

La petite histoire de FAT Bastard est la suivante : Thierry (oenologue français) et GUY (son agent anglais et néanmoins ami), ont créé FAT bastard presque par hasard. Thierry effectuait des essais au fond de sa cave, laissant reposer des vins sur lies en barriques; Lors d’une dégustation avec son ami, Thierry s’exclama… « Now zat iz what you call eh PHET bast-ard: », (avec un fort accent français); Cette expression « très british » exprimait parfaitement toute la rondeur et la richesse de ce vin finement boisé.
Et c’est ainsi qu’on le nomma FAT bastard…

Pour célébrer une année riche en développement et couronner 10 ans de succès, Gabriel Meffre, Négociant-Eleveur à Gigondas et producteur de la marque depuis son origine, a voulu compléter la gamme avec un vin de fête et de plaisir : FAT bastard Sparkling, un vin mousseux de qualité dans un habillage toujours détonnant et particulièrement élégant. Le Fat bastard Sparkling a été présenté en avant première au SIAL Paris en octobre 2008 et sera présent en Amérique du Nord, en Asie, au Moyen Orient et en Europe du Nord dès la fin de l’année 2008 !

Fat bastard : une marque de vin français qui a conquis l’amérique

Bien que Fat Bastard soit une insulte plus ou moins amicale en langue anglaise, il fallait oser la lancer à travers le monde pour représenter une marque de vin, qui plus est, française !!! Lancée en 1998 avec deux vins de cépage – le Chardonnay et la Shiraz, la marque FAT bastard a percé aux Etats-Unis, en devenant une des 3 premières marques de vin français Outre-Atlantique. En effet aujourd’hui, ce sont  plus de 4 millions de bouteilles FAT bastard qui sont vendues dans 16 pays chaque année (Pays Bas, USA, Canada, Emirats Arabes Unis, Norvège, Chine, Danemark, France, etc.)

La petite histoire de FAT Bastard est la suivante : Thierry (oenologue français) et GUY (son agent anglais et néanmoins ami), ont créé FAT bastard presque par hasard. Thierry effectuait des essais au fond de sa cave, laissant reposer des vins sur lies en barriques; Lors d’une dégustation avec son ami, Thierry s’exclama… « Now zat iz what you call eh PHET bast-ard: », (avec un fort accent français); Cette expression « très british » exprimait parfaitement toute la rondeur et la richesse de ce vin finement boisé.Et c’est ainsi qu’on le nomma FAT bastard…

Pour célébrer une année riche en développement et couronner 10 ans de succès, Gabriel Meffre, Négociant-Eleveur à Gigondas et producteur de la marque depuis son origine, a voulu compléter la gamme avec un vin de fête et de plaisir : FAT bastard Sparkling, un vin mousseux de qualité dans un habillage toujours détonnant et particulièrement élégant. Le Fat bastard Sparkling a été présenté en avant première au SIAL Paris en octobre 2008 et sera présent en Amérique du Nord, en Asie, au Moyen Orient et en Europe du Nord dès la fin de l’année 2008 !

Quelle est la marque de vin français la plus vendue au monde ?

Pour répondre à cette question, d’abord quelques indices :

Elle appartient à un groupe fondé en 1979, qui est devenu un des tous premiers négociant français d’alcools et de vins au Monde.
Il est aujourd’hui le 1er vinificateur privé de France.
Il emploie plus de 1400 personnes dans 16 sociétés.
Son chiffre d’affaires annuel en 2007 est de 680 millions d’euros, dont 70 % à l’exportation.
L’un de ses principaux sites de production peut embouteiller jusqu’à 1 000 000 de bouteilles par jour.

Vous ne voyez pas ?

Pourtant ce groupe français a développé une stratégie de conquête très précise, mise au point autour de 4 axes principaux :

Technique : maitriser la vinification des vins soi-même de la vigne au verre.

Logistique : assurer sa propre logistique en choisissant ses implantations en des lieux stratégiques pour un transport multimodal adéquat et une forte présence européenne.

Coopératif : conclure des partenariats solides et à grandes échelles avec des structures de production de vin pour garantir un top niveau qualitatif et une traçabilité indispensable pour la vente en hyper et super marché au niveau mondial.

Vente : s’assurer d’une démarche marketing vin spécialisée et pragmatique avec la création d’une marque forte, identitaire, personnalisée, humanisée dans un souci de différence et de reconnaissance.

Ce groupe s’appelle GCF, les Grands Chais de France :

logo grands chais de france

et la marque qu’il exploite avec un tel succès : J.P. Chenet. Vous l’avez forcément déjà vu en rayon avec cette bouteille toute biscornue :

jpchenet rose

 

Comme nous le rappelle le groupe GCF, « la France est le premier pays producteur de vin dans le monde avec une région, le Languedoc-Roussillon, qui a réussi, par son ensoleillement unique, à rejoindre l’élite des vignobles français. Dans cette région, J.P. Chenet a rencontré le succès en 1984 en lançant sa bouteille hors du commun, preuve d’une ouverture d’esprit et d’une innovation débordante. Depuis ce jour, J.P. Chenet sélectionne les raisins issus des meilleurs terroirs de cette région pour produire des vins à l’équilibre parfait dont la réputation s’étend aujourd’hui à plus de 140 pays. »

J.P. Chenet est la marque de vin français la plus vendue au monde.Pour fêter cette bonne nouvelle, un jeu concours est organisé sur le site www.jpchenet.com avec à la clé quelques cadeaux intéressants. Il vous faudra bien entendu faire part de vos coordonnées qui seront utiles pour vous communiquer quelques messages publicitaires par la suite. Le b…à ba du jeu concours à la papa !
Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi cette campagne se déroule sur le marché français. Pourquoi nous faire savoir, à nous français, que « de Sydney à Hong Kong en passant par Tahiti, le voyage se veut international et cette campagne exalte les vins et leur confère une image de rencontre, de rêve et de partage. »
Apparemment, un gros travail sur l’image du produit a été réalisé en amont afin de réhausser qualitativement la marque sur le marché français. On nous parle ainsi d’une marque « tendance » et « élégante » avec des codes couleurs tranchés et vifs.
L’objectif semble de toucher une clientèle plus jeune, plus féminine, très certainement citadine et de renforcer ses parts de marché en France !
C’est une bonne idée, n’est-ce pas, revenir en France, en pleine forme, en se payant un lifting, fort de ses conquêtes mondiales et de sa place de numéro un !!! Une bonne nouvelle pour notre balance commerciale qu’il ne faudrait pas oublier en ces temps de crise et de durcissement des mouvements anti-alcool.

Festival des Vins Animés

Vous le savez maintenant, les vins naturels plaisent à mon palais et plus je découvre les vignerons qui se cachent derrière et plus je les trouve sensationnels.Pendant que le people, le bruit, la mode, le trend et quelques autres encore se pressaient sur les marches d’un certain festival du côté de Cannes, j’ai préféré m’arrêter à Marseille. Le week-end dernier, il s’y tenait le Festival des vins animés, regroupant une cinquantaine de ces vignerons naturels à la Friche dans le quartier de la Belle de Mai. Ce fut encore une belle occasion de rencontrer des hommes et des femmes passionnés et très abordables. Je n’ai pas été séduit par tous les vins dégustés et cela m’a rassuré quant à mon jugement non encore fanatique pour ce type de vin. Certes, ils sont très différents de ce que l’on a l’habitude de boire mais cela ne veut pas dire qu’ils soient tous parfaits. J’ai particulièrement apprécié les vins suivants :

Mouressipe d’Alain Allier à Saint Comes dans le Gard – Des cuvées incroyables sur des Grenaches exquises et de la Syrah. Un homme charmant, simple, qui met toute sa production en vin de table. Vous le retrouverez à l’honneur dans la boutique ShowVin et bientôt sur ce blog.

La Lunotte de Christophe Foucher à Couffy dans le Loir et Cher – De beaux sauvignon expressifs en Blanc.

Le Mazel de Gérald & Jocelyne Oustric à Valvignères en Ardèches – Une cuvée Mias en 100% Viognier, les yeux fermés impossible de croire que c’est vin tellement les arômes pétillent.

L’Ancestra de Cyril et Karine Alonso à Romanèche-Thorins en Maconnais – Un artisan négociant itinérant au naturel. Ca mérite des explications !!! Ce sera pour un autre article.

Château Revelette de Peter et Sandra Fischer à Jouques près d’Aix en Provence – La chance de faire connaissance avec Madame Fischer, souriante et charmante ambassadrice des vins que son mari taquine au naturel sans trop en faire. On est en Provence tout de même !

Nous allons continuer d’explorer ce nouveau monde, en prenant le temps de la rencontre. Si vous souhaitez nous suivre dans notre épopée, choisissez le Forfait Vin Naturel 6 mois, il contiendra quelque uns de ces vins cités plus haut :

forfait vin naturel

Ci-dessous la liste complète des vignerons présents au Festival : Provence Domaine Arena Antoine Arena Corse Château Saint Anne Françoise et Jean Baptiste Dutheil Bandol Château Revelette Peter Fisher Coteaux d’Aix Vallée du Rhône La ferme saint Martin Guy et Thomas Jullien Beaumes de Venise Le Mazel Gérald Oustric Ardèche Andrea Calek Andrea Calek Ardèche La Roche Buissiére Antoine et Pierre Joly Côtes du Rhône Vinumentis Yann et Sylvain Rohel Côtes du Rhône Bourgogne/ Beaujolais Domaine Lapierre Marcel et Mathieu Lapierre Morgon Domaine Sabre Fanny Sabre Pommard Château Cambon Marie Lapierre Beaujolais Les vignes du Maynes Alain et Julien Guillot Bourgogne L’Ancestra Cyril Alonso Macônnais Domaine Guy Breton Guy Breton Morgon Languedoc Fontedicto Bernard Bellahsen Languedoc Le temps des cerises Axel Prufer Languedoc Domaine du Possible Loic Roure Languedoc Le bout du monde Edouard Laffitte Roussillon Domaine Senat Charlotte et Jean-Baptiste Senat Minervois Mourressipe Alain Allier Languedoc Loire Les vins contés Olivier Lemasson Loire Domaine Elise Brignot Elise Brignot Montlouis Domaine Breton Catherine et Pierre Breton Bourgueuil La Lunotte Christophe Foucher Loire Domaine du Moulin Isabelle et Hervé Villemade Loire Domaine Maupertuis Jean Maupertuis Côtes d’Auvergne Sud Ouest Domaine du Bois Moisset Philippe Maffre Gaillac Moulin Pey Labrie Bénédicte et Grégoire Hubau Bordeaux

Les vins naturels font un tabac à la Beaujoloise

Je viens de recevoir un email des organisateurs de ce fameux salon off appelé La Beaujoloise. Il y a eu plus de 600 visiteurs finalement en 1 jour au Chateau Cambon à Saint-Jean d’Ardières, en plein beaujolais.

Un grand merci à ces 3 jeunes qui viennent bousculer nos habitudes pour nous plonger tout entier dans ce nouvel univers du vin naturel :

Christophe Pacalet, qui a développé un négoce de vin naturel, que des crus du Beaujolais, avec pour démarche de sélectionner les raisins avec sa propre équipe de vendangeurs, histoire de s’assurer d’un fruit mûr et sain. Ensuite dans sa cave, il continue ce que lui a appris son oncle Marcel Lapierre.

Mathieu Lapierre, le fils de Marcel, qui travaille avec son père au domaine, au coeur de Villié-Morgon. La relève est assurée avec ce même naturel pour aborder la vie, les gens et le vin.

Cyril Alonso du domaine de l’Ancestra, qui se dit volontiers, négociant itinérant ou bien encore petit négociant au naturel . C’est le mot clé : naturel ! Ses vins sont étonnants. Il s’amuse avec les étiquettes sur ses bouteilles, n’hésite pas à surprendre avec des noms de cuvées incroyables comme « Château Gonfable » par exemple.

Un grand merci à vous 3 et à tous ceux qui sont venus sur ce salon pour nous rendre le vin tellement nouveau.

Ci-dessous la liste des vignerons et vigneronnes présents à La Beaujoloise :
marcel lapierre,christophe pacalet,max breton,jean foillard,yvon metras,mathieu lapierre,phillipe pacalet,phillipe jambon,jean paul brun,pierre marie chermette,karim vionnet,vinumentis,l’ancestra cyril alonso,nicolas testard,jean jacques robert denogent,domaine valette,julien guillot, arnaud combier,aubert de villaine,henry frederic roch,dominique derain,michel couvreur,jean batiste seles,christian ducroux,jean paul et charlie thevenet,jean claude lapalu,georges descombes dit le noune,marie lapierre.

christophe pacalet Christophe Pacalet